Act 5 « 17 Cependant le
souverain sacrificateur et tous ceux qui étaient avec lui, savoir le parti des
sadducéens, se levèrent, remplis de jalousie, 18
mirent les mains sur les apôtres, et les jetèrent dans la prison publique.
28 Ne vous avons-nous pas défendu expressément
d'enseigner en ce nom-là? Et voici, vous avez rempli Jérusalem de votre
enseignement, et vous voulez faire retomber sur nous le sang de cet
homme! 40 Ils se rangèrent à son
avis. Et ayant appelé les apôtres, ils les firent battre de verges, ils leur
défendirent de parler au nom de Jésus, et ils les relâchèrent. 41 Les apôtres se retirèrent de devant le
sanhédrin, joyeux d'avoir été jugés dignes de subir des outrages pour le nom de
Jésus. 42 Et chaque
jour, dans le temple et dans les maisons, ils ne cessaient d'enseigner, et
d'annoncer la bonne nouvelle de Jésus-Christ ».
Il existe
beaucoup de mystères concernant le salut de l’homme que le diable maîtrise
mieux que les hommes eux-mêmes, et il fait tout ce qui est en son pouvoir pour les
empêcher d’accéder à ces mystères et ainsi être sauvés. Ils peuvent ainsi se fabriquer un
salut illusoire après avoir rejeté le vrai salut que Dieu leur a préparé en
Jésus-Christ seul. Ceux qui cherchent sincèrement le royaume de Dieu ne
s’empêcheraient pas de réfléchir sur cet acharnement de l’ennemi contre le nom
de Jésus depuis la genèse même de l’Eglise. Mais les apôtres ont opposé une
protestation rigide : Act 4 « 19 Pierre et Jean leur
répondirent: Jugez s'il est juste, devant Dieu, de vous obéir plutôt qu'à Dieu;
20 car nous ne pouvons
pas ne pas parler de ce que nous avons vu et entendu », Act 5 « 29 Pierre et les apôtres répondirent: Il faut obéir
à Dieu plutôt qu'aux hommes ». Ils auraient eu beau les faire mourir, ceux-ci
seraient dans la joie de mourir pour le nom de Jésus.
L’ennemi était
dépassé : Atc 4 « 21 Ils leur firent de nouvelles
menaces, et les relâchèrent, ne sachant comment les punir, à cause du peuple,
parce que tous glorifiaient Dieu de ce qui était arrivé. 22 Car l'homme qui avait été l'objet de cette
guérison miraculeuse était âgé de plus de quarante ans ». Après
avoir échoué avec cette stratégie d’attaque frontale, l’infatigable ennemi
envisagera le recours à la subtilité : infiltrer l’Eglise et combattre le
nom de Jésus de l’intérieur au moyen de la théologie. Le Seigneur nous l’avait
prévenu dans la parole de l’ivraie dans Matthieu 13. Dans son
explication : « 37 Il répondit: Celui qui sème
la bonne semence, c'est le Fils de l'homme; 38 le champ, c'est le monde; la bonne semence,
ce sont les fils du royaume; l'ivraie, ce sont les fils du malin; 39 l'ennemi qui l'a semée, c'est le
diable… »
La bonne semence
avait été semée à la pentecôte par le Saint-Esprit : Act 2 « 38 Pierre leur dit: Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom
de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés; et vous recevrez le don du
Saint-Esprit ». Car : Act 4 « 12
Il n'y a de salut en aucun autre; car il n'y a sous le ciel aucun autre nom qui
ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés ». De cette
semence de Dieu sont nés de purs fils et
filles de Dieu, ce qui a fait très mal à l’adversaire. L’ennemi aussi viendra
pendant la nuit semer des réflexions, des interprétations, de la philosophie,
et cela engendrera des fils et filles du malin. Champion dans la manipulation
des grands nombres, l’ennemi a multiplié très rapidement l’ivraie dans le champ
et au bout d’un temps c’est la majorité qui suit la porte large et le chemin spacieux
qui mène à la perdition, la petite minorité entre par la porte étroite et suit
le chemin resserré (Mt 7:13-14). En effet, le Seigneur dit : Lc 13 « 24 Efforcez-vous d'entrer par la porte
étroite ».
Lorsque l’approche de conciles pour décider démocratiquement de ce qui
devait être adopté comme matière de foi a été établie, l’ennemi poursuivait un
seul objectif, celui qu’il avait déjà énoncé à Jérusalem, à savoir écarter le
nom de Jésus par lequel Dieu sauve les pécheurs. Le nom du salut a été écarté
et on lui a substitué la formule trinitaire de Père, Fils et Saint-Esprit. Ouf
de soulagement pour l’ennemi qui était régulièrement tourmenté chaque fois que
ses prisonniers lui étaient arrachés par la puissance rédemptrice de l’unique
nom qui sauve. Le succès était double : d’abord l’ennemi avait réussi à
écarter le nom de Jésus, mais en plus il avait réussit à introduire dans la
notion du salut de l’homme la croyance et la pratique de la trinité qui est le
noyau central de la doctrine satanique telle que révélée à Nimrod à Babylone et
répandue dans toutes les nations païennes antiques.
« Seulement, ne parlez
pas au nom de Jésus », en d’autres termes « jouez paisiblement à votre religion
autant que vous pouvez, soyez chrétien en toute liberté et que personne ne vous
dérange, mais seulement veillez attentivement à ce que vous ne soyez pas sauvés ».
Ce vœu, cette exigence de l’ennemi exprimée dès la pentecôte contre les âmes
prêtes à suivre le Seigneur, il l’a réalisé de manière insoupçonnée. L’ennemi n’était
pas prêt à relâcher ses prisonniers (Es 14:17), et le nom de Jésus vient avec cette
puissance libératrice et rédemptrice. Par conséquent il fallait le combattre
dès la première heure par tous les moyens : la brutalité, les
intimidations, les persécutions d’une part, et par la ruse, l’infiltration, la
philosophie, la théologie d’autre part. La seconde approche a été plus prospère
et durable car jusqu’aujourd’hui des foules sont chrétiennes sans être sauvées,
sans naitre de nouveau, des chrétiens mais retenus toujours prisonniers de
Satan.
Le nom qui libère
de la prison de Satan a été rejeté. L’ennemi comprend parfaitement que pour se
faire appeler chrétien, quelqu’un n’a pas nécessairement besoin du nom de Jésus,
en d’autres termes il n’a pas nécessairement besoin d’être sauvé. Ainsi il
accorde à tous ses prisonniers qui le souhaitent la liberté de se faire appeler
chrétiens, ce qui est par ailleurs un meilleur moyen de séduire. En effet, un
magicien, un artiste profane ou quelque autre célébrité peut un simple matin
adhérer à une église de dénomination chrétienne et, aussi étrange que cela
paraisse, il est désormais chrétien. Et il sera d’un grand apport dans cette
église du fait que par son témoignage il va émouvoir et attirer beaucoup de
membres à cette organisation, un business très rentable. Tout cela est permis
dans le cadre des droits et libertés de la personne. Mais en ce qui concerne le
salut il existe une et une seule porte : Lc 13 « 24
Efforcez-vous d'entrer par la porte étroite », Jn 10 « 9 Je suis la porte. Si quelqu'un entre par moi,
il sera sauvé; il entrera et il sortira, et il trouvera des pâturages ». Celui qui
parle ainsi c’est le Seigneur Jésus.
Tous ceux qui sont passés par une autre porte, où sont-ils entrés ?
nous avons vu selon les saintes écritures et selon le témoignage de l’histoire
d’où vient la trinité. Le nom de Jésus par lequel Dieu sauve ayant été écarté
et remplacé la formule initiatique de Babylone, le baptême biblique a pareillement
été écarté et remplacé par le baptême trinitaire. Ainsi, la parole du Seigneur « Celui qui croira et
sera baptisé sera sauvé » n’a pas eu d’effet pour les gens qui se font
plutôt baptiser pour le dieu de Nimrod et s’identifient par ce fait dans
l’empire mondial dirigé à partir de MYSTERE BABYLONE LA GRANDE. Cette parole du
Seigneur n’a d’effet que pour les humbles de cœur qui acceptent de croire selon
les écritures, se font baptiser selon les écritures et sont sauvés selon les
écritures.
Act 4 « 11 Jésus est La
pierre rejetée par vous qui bâtissez, Et qui est devenue la principale de
l'angle ». Les bâtisseurs sont les leaders religieux, comme Pierre
les a pointés du doigt. Ils ont rejeté le nom de Jésus, la Pierre angulaire.
Quel édifice bâtissent-ils alors, après avoir rejeté la fondation agréée de
Dieu ? la maison est édifiée sur le fondement des apôtres et des
prophètes, Jésus-Christ lui-même étant la pierre angulaire. Celui qui bâtit sur
un autre fondement bâtit un autre édifice, et c’est ce que ces bâtisseurs font.
Ils ne bâtissent pas l’édifice de Dieu, mais celui de Balylone, l’empire
mondial qui a pour fondement les enseignements des hommes. D’où le Seigneur les
a chargés d’un grief très grave : Mt 23 « 13
Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites! parce que vous fermez aux
hommes le royaume des cieux; vous n'y entrez pas vous-mêmes, et vous n'y
laissez pas entrer ceux qui veulent entrer ». Ecarter le nom de
Jésus de l’affaire du salut, c’est cela même fermer le royaume des cieux. Et
celui qui ne veut pas comprendre ne le comprendra pas, mais en tout cas, de ces
paroles du Seigneur il ressort très clairement que les prisons dans lesquelles
le prince de ce monde enferme les âmes sont ces religions qui ferment aux
hommes le royaume des cieux.
Alors intervient
la responsabilité individuelle de tout un chacun et ces paroles du Seigneur
s’imposent de nouveau : Lc 13 « 24
Efforcez-vous d'entrer par la porte étroite ». Il est question de
s’efforcer individuellement si l’on aime le Seigneur, son royaume et son avènement.
Le prince de ce monde a fermé le royaume des cieux et ne te permettra pas d’y
entrer volontiers, mais il faut user de violence. Christ est mort et il est ressuscité,
nous sommes dans l’année de jubilée où tous les esclaves doivent être libérés,
du moins ceux qui choisissent de l’être. Alors crions avec le psalmiste : Ps 2 « 3 Brisons leurs liens, Délivrons-nous de leurs
chaînes! » Rangeons-nous du côté de ce nom qui énerve le monde et
soyons affranchis par rapport au joug de l’ennemi : nous serons les
protégés de Christ et Lucifer ne pourra pas nous toucher. Celui qui refuse cet
affranchissement restera prisonnier de Lucifer pour toujours.
Contrairement à ceux qui ont ce nom en horreur, nous, nous proclamons avec
le psalmiste : Ps 9 « 11 Ceux qui connaissent ton nom se confient en
toi. Car tu n'abandonnes pas ceux qui te cherchent, ô Éternel! » Il est d’abord question
de connaitre le nom par la révélation. Ps 44 « 6
Avec toi nous renversons nos ennemis, Avec
ton nom nous écrasons nos adversaires ». Ps 54 « 3 O Dieu! sauve-moi
par ton nom, Et rends-moi justice par ta puissance! » Point de
salut sans le nom du Seigneur, et ce nom-là, Jésus-Christ, est pour nous un
parfum agréable : Ct 1 « 3
Tes parfums ont une odeur suave; Ton nom
est un parfum qui se répand; C'est pourquoi les jeunes filles
t'aiment ». S’il fallait mourir pour ce nom-là, je mourrais en rendant
grâces à Dieu comme Etienne!
Si tu te sens béni,
partage et répands les mêmes bénédictions !
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